dimanche 1 septembre 2013

Quand les zoos mondiaux travaillent à la sauvegarde des espèces menacées

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  • Comme d'autres espèces menacées, le rhinocéros de Sumatra fait l'objet d'un vaste programme de sauvegarde dans les zoos mondiauxAfficher la photoComme d'autres espèces menacées, le rhinocéros de Sumatra fait l'objet d'un vaste programme de sauvegarde dans les zoos mondiaux

    Les zoos cherchent à mettre en place une espèce d'Arche de Noé de haute technologie pour assurer la survie des espèces menacées. Cette arche d'un nouveau genre implique de conserver le sperme congelé d'espèce en voie de disparition, de protéger les données génétiques d'animaux ou encore de procéder à des échographies d'animaux en gestation pour assurer la survie de leurs petits.
    Le braconnage et la déforestation font des ravages au sein des populations animales à travers le monde. Pour faire face, tout est mis en oeuvre pour assurer la survie des espèces les plus menacées. Les zoos de la planète y participent en mettant en place des programmes de reproduction en captivité. Ainsi, aujourd'hui, plus de 500 espèces font l'objet de programmes spéciaux de survie : guépards, éléphants d'Asie, putois d'Amérique, oryx...
    Mais ce n'est pas tout puisqu'ils utilisent aujourd'hui des techniques très élaborées pour bâtir une espèce d'Arche de Noé moderne. Tout a commencé dans les années 1970 lorsque les zoologistes se sont aperçus que les bébés girafes et gazelles conçus en captivité avaient moins de chance de survivre. Cela était dû aux problèmes causés par la consanguinité. "Cela a provoqué un bouleversement dans les zoos qui ont réalisé qu'ils devaient mieux gérer leurs populations d'animaux en captivité", explique David Wildt, qui dirige le Centre de la survie des espèces au Smithsonian National Zoo de Washington.
    Des reproductions mieux gérées
    Ainsi, les données génétiques des animaux en captivité ont été enregistrées. Grâce à ces informations, les scientifiques sélectionnent eux-mêmes le meilleur partenaire lors d'un accouplement. Cela évite les problèmes liés à la consanguinité. Et les résultats sont probants. A titre d'exemple, l'antilope Oryx dammah avait disparu et était déclarée éteinte à l'état sauvage en 2000. Mais après avoir été reproduite en captivité, l'animal a pu être (...)

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